Au revoir Alain ; tes grandes enjambées comme au vrai rythme du monde, comme décalées et détachées de la frénésie accélérée autour de toi, me faisaient du bien chaque jour où l'on se croisait au lycée. C'est bien toi qui avais la musique juste. On aura trop peu parlé, en quelques mois, pour se connaître, mais ton humour, ta délicatesse et ta parfaite gentillesse me manquent.
Toutes mes pensées à tes proches.